Si Jean-Philippe Allebanch ne souhaitait pas déposer plainte début février, il a estimé que la patience du Mouvement Franche-Comté "avait atteint ses limites" et espère désormais que "les auteurs de ces détériorations ne seront pas tentés de recommencer". Le président du Mouvement Franche-Comté a également insisté sur le fait que le local était "couvert" par les caméras et les vidéos surveillance, installées place du 8 septembre.
Selon lui, ces tags visent à "empêcher la diffusion d'idées qui les dérangent". Une censure envers la liberté pour laquelle il a tenu à faire référence à l'auteur bisontin Victor Hugo en citant une de ses phrases : "la censure est mon ennemie politique. La censure est de droit improbe, malhonnête et déloyale. J'accuse la censure"