Dimanche 7 avril, au carnaval de Besançon, deux militantes du collectif féministe identitaire Némésis ont brandi des pancartes pour réclamer l'expulsion des violeurs étrangers du territoire français. ”Une demande légitime quand les chiffres sont alarmants : 46 femmes auraient pu être épargnées si les obligation de quitter le territoire français (OQTF) avaient été appliquées !”, indique le groupe du Rassemblement national Bourgogne Franche-Comté du conseil régional dans un communiqué du 11 avril.
”Pour avoir demandé une politique que Gérald Darmanin et Marlène Schiappa avaient eux-mêmes soutenue, la militante Yona a été placée en garde à vue et son ordinateur mis sous scellés. Un véritable acharnement sur une jeune femme de 19 ans qui ne fait que dénoncer des réalités que refusent de voir les islamo-gauchistes !”, affirme les élu(e)s.
Ils comparent la réaction de la maire de Besançon qui a porté plainte contre la militante de Némésis à sa réaction en septembre 2023 : ”Anne Vignot tenait un discours radicalement différent quand une manifestante d’extrême gauche avait brandi une pancarte « une balle, un flic » en disant « avoir pris connaissance des faits ». La maire écologiste cautionne l'appel au meurtre des policiers mais porte plainte contre les femmes qui osent dénoncer le laxisme migratoire et ses conséquences pour la sécurité des Françaises.”
Pour le groupe du Rassemblement national Bourgogne Franche-Comté du conseil régional, ”en Bourgogne Franche-Comté, la majorité socialiste, alliée avec les écologistes, entretient et cautionne cette vague d'immigration depuis 2016, plus de 32 millions d'euros ont été alloués pour financer des formations aux migrants et l’argent public subventionne à tour de bras des festivals « pro migrants ».”
Julien Odoul et les élus du Rassemblement national apportent leur soutien aux militantes du collectif Némésis "qui, comme 85% des Français (sondage Elabe pour BFMTV du 25 mai 2023), demandent l’expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers”, concluent-ils.