Ces derniers mois, des chevaux ont été victimes de mutilations sur plus de la moitié du territoire national. "J'entends la crainte, la peur, parfois le désarroi de propriétaires de chevaux (...) qui se demandent les bons gestes, les mesures de précaution à prendre, quels sont les actes qui peuvent être faits pour protéger leurs chevaux ou leurs poneys", avait déclaré le ministre de l'Agriculture lors d'un point de presse.
"Face à ce sentiment de peur (...) j'ai décidé de mettre en place une équipe d'une quinzaine de personnes, des spécialistes de l'Institut français du cheval qui aujourd'hui, à partir de ce matin, seront à la disposition des propriétaires de chevaux", avait-il poursuivi.