Selon le spécialiste, les résultats au premier tour de l’élection le 10 avril dernier sont « la continuité du scrutin de 2017 ». Il explique que Jean-Luc Mélenchon "s’inscrit dans la continuité d’un discours de gauche dans lequel se sont retrouvés pas mal de Bisontins puisqu’il arrive en tête du premier tour" avec pas moins de 32,31% des suffrages exprimés.
Vincent Lebrou note également des régularités : "là où Emmanuel Macron, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon étaient forts il y a 5 ans, ils le restent aujourd’hui donc on peut imaginer qu’il y a des variables qui continuent d’agir comme le vote urbain, le vote rural continuent d’être un clivage relativement important (…)."