Il a notamment évoqué les travaux préparatoires en cours avec l'Université de Bourgogne qui doivent aboutir à la signature d'une convention dans le cadre d'un Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES).
Le début d'une fusion entre les deux universités ? «Je n'emploierais pas ce terme, mais tout est ouvert. Ce n'est cependant pas un débat à l'ordre du jour», a-t-il précisé.
Reste que le président a avoué que, pas plus tard que mercredi, l'Etat le pressait d'aller bien au-delà d'une simple convention avec Dijon, s'il voulait bénéficier de financements plus conséquents pour son université...
Quand on sait, par ailleurs, que Dijon et Besançon réunies auraient le même poids que Strasbourg, on comprend pourquoi Claude Condé laisse la porte ouverte à toutes les hypothèses, même à celle d'une fusion dont il n'a osé prononcer le nom.