Un PRES de « deuxième génération » qui repose sur une fondation de coopération scientifique et sur une université fédérale. « On n’est pas fusionnels, mais nous mettons en place une gouvernance unifiée. Le PRES aura un pied à Besançon et un pied à Dijon », a précisé Claude Condé à l’attention de ceux qui craignent un effacement de la Franche-Comté face à la Bourgogne.
Université: avec la Bourgogne, la Franche-Comté veut jouer dans la cour des grands
Publié le 16/11/2010 - 15:17
Mis à jour le 16/11/2010 - 15:17
C’est une actualité particulièrement riche et «prometteuse» que le président de l’Université de Franche-Comté a décliné ce matin à Besançon.