Il est environ 14h20 lorsqu'une patrouille de la police nationale reconnaît le conducteur à bord de son véhicule. Les fonctionnaires savent qu'il a déjà été sanctionné pour des faits similaires le 28 décembre 2024. Sans difficulté, l'homme est interpellé et placé en garde à vue.
Lors de son audition, le mis en cause reconnaît les faits. Sa garde à vue prend fin le 18 février, il est alors présenté au parquet immédiatement.
Au terme de son audience, il est condamné à une peine de dix mois d'emprisonnement, dont cinq mois avec sursis probatoire pour une durée de deux ans. En plus de la confiscation de son véhicule, il est soumis à une obligation de travail et devra régler ses amendes.
L'homme a été laissé libre à l'issue de l'audience.