Un médecin légiste bisontin publie une bande dessinée intitulée Autopsie

Le Bisontin Antoine Tracqui, médecin légiste ayant notamment travaillé sur les affaires Plumain, Bodein et Laval a publié le premier tome de sa série de bande dessinée intitulée Autopsie aux éditions Oxymore en octobre 2024. Le deuxième tome sortira le 29 janvier prochain. 

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D’abord médecin légiste à Besançon, spécialiste en toxicologie et expert auprès des tribunaux, Antoine Tracqui est également écrivain. Alors qu’il dirige le service de médecine légale du CHU de Besançon, il quitte finalement ses fonctions hospitalo-universitaires en 2020 pour se consacrer pleinement à sa carrière littéraire.

Ses premiers romans réunis dans la trilogie Hard Rescue sont plébiscités par la critique. Ce passionné de littérature s’est depuis tourné vers un autre genre, celui de la bande dessinée. Après avoir scénarisé un tome de la série Oracle, puis de la série Androïdes, l’ex-médecin légiste revient à ses origines avec la série-concept de polars médico-légaux intitulée Autopsie. 

Un premier tome publié en octobre

Son tome 1, Le Scarificateur est sortie le 9 octobre 2024 et dépeint des meurtres atroces perpétrés à l’aide d’un rituel dément auxquels une jeune légiste à la dérive va devoir se confronter. En être sang et glace, l’enquête emmène le lecteur aux tréfonds de la folie. 

Synopsis : Göteborg, peu avant Noël. Jennie Lund, une jeune médecin légiste sans expérience, se retrouve malgré elle au cœur d’une enquête glaçante sur une série de crimes atroces. À mesure que les meurtres se succèdent, le mystère s’épaissit : l’assassin frappe-t-il au hasard, ou existe-t-il un lien insoupçonné entre les victimes ? Pourquoi son mode opératoire reproduit-il le cérémonial du blót, le sacrifice de sang en vigueur avant l’arrivée du christianisme ? Et pourquoi l’oncle de Jennie, ce policier d’élite censé mener l’enquête, s’acharne-t-il à brouiller les cartes ? Une plongée dans les ténèbres sur fond de rites néo-païens et de non-dits familiaux, dans la plus pure tradition des polars scandinaves.

© Oxymore Éditions

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