"Un monde sans abeilles ? N’y pensons pas !",remarque t-il sur le site Kiss Kiss Bank Bank. "C’est grâce à la pollinisation des fleurs par les abeilles que la Terre nous offre ses fruits." Or, les abeilles seraient de moins en moins nombreuses dans le milieu naturel.
Un espèce en danger
Il semble même qu'elles ne pourraient presque plus vivre actuellement sans l'intervention des apiculteurs. "Il existe encore des essaims sauvages dissimulés mais très ou trop peu !", explique ce passionné.
"Je me suis dit qu'il fallait essayer."
Celui qui se fait appelé "Shakymiel" aurait découvert l'apiculture en voulant améliorer la pollinisation de son jardin et après avoir trouvé une vieille ruche dans son grenier. "Je me suis dit qu'il fallait essayer."
Après avoir acheté un essaim chez un apiculteur senior qui lui a fourni au pasage tous les conseils utiles, il a décidé d'acquérir une ruche neuve quelques semaines plus tard. Puis un essaim sur cadres, puis une troisième ruche et ainsi de suite.
"J'en possède 8 actuellement et j'aimerais passer au niveau supérieur afin de devenir apiculteur semi professionnel d'ici quelques années."
765 euros déjà collectés
Il souhaiterait aujourd'hui avoir un cheptel d'abeilles de 30 colonies afin de produire du miel. "Il me manque donc 22 colonies (ruches et cadres + cires gaufrées)." Mais cela revient cher. Il faut en effet compter en moyenne 100 € par essaim soit 2200 €, juste pour les abeilles.
À quoi s'ajoutent d'autres frais pour les ruches et le matériel divers, ce qui revient à un coût final approximatif de 4900 €. "Afin de donner un coup de pouce au destin", il sollicite donc l'aide du plus grand nombre autour d'un financement participatif. Sur les 1000 € qu'il espèrait récolter, il a déjà collecté 765 € avec des messages de soutien.
Les généreux donateurs se voient offir en contrepartie des pots de miel, des cartes postales de la région et aussi leurs noms et prénoms gravés sur la ruche suivant le montant octroyé.
Pour le soutenir vous aussi, rendez-vous sur ce site.