Sur place, une centaine d'étudiants de l'IFSI (Institut de formation en soins hospitaliers) jouaient le rôle des passagers du train, les fausses victimes de cinq assaillants. Les figurant ont été maquillés de fausses blessures pour rendre l'exercice le plus réel possible.
Le GIGN, la police nationale, la gendarmerie, les pompiers le Samu, la Sureté ferroviaire mais aussi une équipe de la cellule d'urgence médico-psychologique du CHU de Besançon étaient présents.
L'objectif : améliorer la coordination entre les services d’État en se préparant au mieux aux scénarios les plus dramatiques comme une prise d'otage ou une tuerie de masse.