Sculpteur d’anges – Le grand mal est un roman de 432 pages qui dépeint une fresque rutilante, grandiloquente, sur la façon de vivre, de ressentir et de penser, d’une mère de famille contrainte d’affronter les aléas d’une existence tragique. Sans faiblesse ni renoncement, depuis son enfance dans un orphelinat, jusqu’aux pires épreuves, Denise apprend à relever seule tous les défis que la vie lui impose.
Malgré une impitoyable destinée, de la perte de ses deux premiers enfants à l’occupation
allemande, en passant par la maladie étrange de son mari, et la participation de ses fils à la guerre d’Algérie, cette femme courageuse et obstinée ne baissera jamais les bras pour apporter à sa famille les valeurs morales et civiques indispensables à son épanouissement.
À propos de l’auteur
À l’heure de la retraite, après une vie professionnelle intense comme gérant de sociétés, Roland Laurence ouvre enfin ses cahiers de mémoire où il consigne depuis son adolescence la douleur de n’avoir jamais prononcé le mot "papa". En raison de l’absence de son père, il se forge une philosophie antinomique bien ancrée qui altère son rapport à la perception des événements du quotidien.
C’est par l’écriture que l’auteur tente d’apaiser les souffrances qui agitent sa mémoire afin de faire vivre ce père pour lui dire combien son absence fut préjudiciable à chaque instant. Avec la bienveillance de sa mère, il parvient à surmonter bien des difficultés pour combler les stigmates de son enfance brisée.
Quatrième de couverture :
À travers l’histoire d’une famille, on vit les combats, les joies, les douleurs d’une mère dont la vie ordinaire est prise dans les filets des guerres de la grande Histoire.
Ce roman offre une véritable leçon de vie, d’humilité de tempérament pour cette femme emprisonnée dans sa pudeur mais pourvue d’un caractère bien trempé. Il raconte un combat universel de chaque jour, simplement pour survivre et protéger ses enfants.
Découvrez une fresque rutilante, grandiloquente – où passe le souffle de Zola et du vieil Hugo – qui restitue avec de grands sentiments et de petites anecdotes la façon de ressentir, de penser, d’une France déjà oubliée d’avant 1968.