Pour la Ville de Besançon, un an après, "le conflit s’aggrave de jour en jour, touchant et massacrant les populations civiles au Proche-Orient, à Gaza, au Liban et en Israël, et déplaçant des millions de civils, placés dans une situation de détresse humanitaire absolue".
L’intensification de la violence tant redoutée au Proche-Orient "est désormais une réalité tragique" poursuit la Ville. Cette semaine, les tensions et les destructions ont augmenté en raison des raids israéliens au Liban et de l’attaque massive de l’Iran contre Israël. Pour la Ville de Besançon, "le risque d’un embrasement régional imminent nécessite une mobilisation diplomatique internationale . Depuis des années, la guerre a fait des dizaines de milliers de victimes civiles, avec Gaza presque entièrement dévastée et la Cisjordanie en proie à la violence".
Les élus de la majorité bisontine réaffirment ainsi leur appel "à un cessez-le-feu immédiat, à la libération des otages, et à la reconnaissance de deux États indépendants et démocratiques de Palestine et d’Israël, vivant en paix". La ville de Besançon appelle également "à la protection des populations civiles et au respect du droit international".