Rapidement, l'idée de les abattre avait été envisagée avant de l'abandonner. La préfecture du Doubs nous avait déclaré : "on essaie de trouver des solutions avec la ville de Besançon, la situation est suivie", mais nous n'obtiendrons pas d'autres informations. Le personnel du zoo de la Citadelle était sur place ainsi que des louvetiers et la police municipale.
Finalement, les sangliers ont été anesthésiés avant de partir à l'équarissage. Il semblerait que remettre ces animaux en liberté avec du produits anesthésiant dans le corps serait dangereux en particulier s'ils sont chassés et mangés par l'être humain.
"Il serait temps de se mettre autour d'une table et de discuter d'une vraie gestion de la faune sauvage"
Selon l'association Humanimo, suite à cette histoire, "il serait temps de se mettre autour d'une table et de discuter d'une vraie gestion de la faune sauvage ! Avec tous les nouveaux paramètres que sont le réchauffement climatique, l'étalement urbain, l'agrainage, les échappées d'enclos de chasse etc. Car la gestion des chasseurs, voilà ce qu'elle donne."
2 Commentaires
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et quand on laisse parler les associations qui n’y connaissent rien mentent et inventent, on voit ce que ça donne… Il n’y a pas d’agrainage à Besançon (à noter que dans de très nombreuses communes, l’agrainage se fait en forêt pour éloigner les sangliers des cultures et uniquement dans ce but), pas de parc de chasse à proximité non plus donc pas d’échappée… C’est justement parce qu’on ne laisse pas les chasseurs gérer comme ils l’entendent qu’on a ces problèmes. Humanimo critique mais ne propose aucune solution…
La France est le paradis des chasseurs. Le plaisir de ces gens là est de tuer (sangliers ou autre…) et plus il y a de “gibier”, plus ils ont de chance d’arriver à satisfaire leur goût du sang. Et comme ils sont les petits protégés de Macron, il sont tout-puissants.