Le but de cet exercice est de tester la chaîne d'alerte entre les établissements, les DSDEN et le rectorat. Le scénario commun à tous les établissements (écoles, collèges, lycées) : ?"des tirs de mortiers d’artifice éclatent à proximité de la structure scolaire".
Il s’agit du troisième exercice de ce type après celui du 11 décembre 2017 et du 7 novembre 2019.
Alerte dans tous les établissements
Tous les établissements ont été mis en alerte sur l’instant. Chaque directeur d’école ou chef d’établissement a été libre d’apporter la réponse la plus adaptée à la menace. La durée de l’exercice a été d’une trentaine de minutes.
Policiers, gendarmes, élus… sur le pont
Pour l'occasion, près de 261 observateurs (policiers nationaux et municipaux, gendarmes, élus locaux, agents des préfectures, de la Draaf, des conseils départementaux, et des communes) ont été dépêchés dans les établissements francs-comtois. Ainsi, 20 % des établissements ont été suivis en cours d’exercice par un observateur extérieur.
Les objectifs de l'exercice
Cet exercice académique avait pour objectifs de :
- de développer une culture de la sécurité dans les établissements scolaires publics et privés sous contrat, en partenariat avec les autres services de l’État et les collectivités territoriales ;
- d’exercer les élèves et l’ensemble de la communauté éducative à réagir lors du déclenchement du Plan particulier de mise en sûreté attentat-intrusion (PPMS AI) ;
- d’identifier les points de satisfaction, les éventuels dysfonctionnements et axes d’amélioration. L’exercice est à présent terminé.
(Communiqué)