Depuis de nombreuses années, le Snat lutte contre les "scratchers", autrement dit, le tatouage à domicile. "Pour moi, ce qu'on voit dans ce magasin de Chateaufarine, c'est du tatouage à domicile" nous confie Jean-Marc Bassand. Il ajoute que "Je suis très étonné que l'ARS ait accepté ça."
À l'heure où le Snat milite pour que les tatoueurs obtiennent le statut d'artiste (et non de profession libérale), avec ce genre de pratique sur la place publique, on passe pour des gens qui courront après l'argent, des gens sales. Ça décrédibilise tout notre travail au Snat et celui des tatoueurs".