Face à l’épidémie de la Covid-19, les autorités suisses ont décidé d’imposer une quarantaine aux voyageurs se rendant en Suisse et en provenance de nombreuses régions françaises.
Après sa rencontre du 27 février 2019 avec Guillaume Pépy, président de SNCF, Marie-Guite Dufay, présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, a réuni le comité de suivi de la desserte du Lyria mercredi 13 mars à Dole. Objectif : auditionner l’entreprise Lyria sur les propositions alternatives à la suppression d’un aller-retour sur quatre du TGV entre Paris et Lausanne, via Dijon, Dole, Mouchard, Frasne et Vallorbe.
Une délégation menée par la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté a rencontré mercredi 27 février 2019 Guillaume Pépy pour contester la suppression par Lyria d’une desserte Paris-Lausanne via Dijon – Dole – Frasne et Vallorbe le 15 décembre 2019.
Le train TGV Lyria 9277 assurera à nouveau l’arrêt en gare de Mouchard sur l’axe Paris-Lausanne à compter du 19 novembre 2018.
Face aux difficultés de plusieurs voyageurs de réserver sur les TGV Lyria au départ de Frasne, la députée du Doubs a décidé d’interpeller les responsables de la SNCF et de la Société Lyria.
Les élus et associations de Bourgogne-Franche-Comté et de Suisse ont installé le 5 décembre 2017 un comité de suivi des dessertes du TGV Lyria pour « défendre la pérennité et l’amélioration des dessertes ».
Depuis samedi 14 décembre, le TGV n’effectue plus la liaison entre Pontarlier et Paris. Le 3 juillet 2013, Lyria annonçait que la ligne TGV Lyria Berne-Neuchâtel-Pontarlier-Paris serait supprimée, pour des raisons de coûts et de fréquentation. Depuis lors, la Fédération du Transjuralpin (FTJA), très active dans la défense du maintien du TGV Lyria, a multiplié les contacts avec Lyria pour obtenir une offre de substitution intéressante : des trains Régioexpress seront mis en place. Paris restera à près de trois heures de train de Pontarlier après le changement d’horaires du 15 décembre 2013.
La présidente de la Région réagit aux propos pessimistes du ministre délégué au Budget sur l’avenir de la grande vitesse à défaut de financement. Marie-Guite Dufay se veut rassurante quant à la deuxième tranche de la branche-est, les deux bouts qui restent à construire vers Dijon et vers Mulhouse, mais se garde bien d’évoquer le sort des branches sud et ouest qui font pourtant partie intégrante du projet de la LGV Rhin-Rhône.
Le gouvernement français pourrait renoncer à de nouvelles liaisons ferroviaires à grande vitesse afin de contribuer aux économies nécessaires pour restaurer l’équilibre des finances publiques, a annoncé ce mercredi le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac.
La Confédération suisse, le Canton du Jura, Réseau Ferré de France et les CFF ont donné lundi en gare de Delémont le premier coup de pioche symbolique des travaux de développement de l’infrastructure ferroviaire entre Delémont et Delle, en vue du raccordement aux lignes à grande vitesse. Côté suisse, ces travaux entraîneront cet été la fermeture de la ligne et le remplacement des trains par des bus.
