Une application est désormais disponible pour permettre d’évaluer son potentiel de risque lié au radon, en fonction notamment de sa commune d’habitation, et autres sources d’exposition à la radioactivité naturelle, a annoncé jeudi l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), qui l’a développée.
Selon l’association pour le contrôle de la radioactivité dans l’ouest (Acro), créée après la catastrophe de Tchernobyl en 1986, aujourd’hui encore, les sols et les champignons sont, 30 ans après, toujours contaminés par le césium-137… Sans grande surprise.
L’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire met en ligne en temps réel les mesures de rayonnement gamma dans l’air ambiant grâce aux 164 capteurs installés en France après la catastrophe de Tchernobyl en 1986. A Besançon, à 9h, on relevait 110 nanoServiert/heure pour une moyenne de 114 en 2010. Les effets du nuages radioactifs seraient donc très limités. Les détecteurs ne signalent rien d’anormal.
