Samedi 7 et dimanche 8 septembre 2024, la ville de Besançon a fêter les 80 ans de sa Libération et la fin de l’Occupation allemande à travers plusieurs cérémonies d’hommage et de mémoire dont ce dimanche matin, place du 8 Septembre.
Orianne Vatin, présidente de l’association "Besançon historique" sort son premier livre intitulé "Besançon, de l'occupation à la Libération". Pour rappel, Besançon fête les 80 de sa libération le 8 septembre 2024.
Les Bains-Douches et le Collectif Histoire des Chaprais présenteront une conférence sur l’histoire des prisonniers civile britanniques à la caserne Vauban de Besançon, lors du rigoureux hiver 1940/41. Elle se tiendra le 18 juin 2024, au Kursaal, salle Proudhon, à 15h.
Des parents d’élèves de l’école maternelle Montrapon à Besançon occupent les locaux depuis mercredi 14 septembre 2016 pour demander l’ouverture d’une classe supplémentaire cette année. Plus d’une vingtaine de parents se relaient jour et nuit pour maintenir la mobilisation.
En Franche-Comté, le taux de logements sur-occupés (3,1%) est deux fois plus faible qu’en moyenne métropolitaine (7,0%), c’est ce qu’a révélé une étude menée par l’Insee. La région enregistre entre 1999 et 2010, la plus forte baisse du nombre de ménages vivant dans un logement sur-occupé par rapport au reste de la France.
Jean-Louis Fousseret condamne l’occupation, reconnue comme illégale par le tribunal administratif ce vendredi, de la Malcombe par 250 caravanes depuis plusieurs jours. Une occupation qui rend le site inaccessible et inexploitable alors qu’un tournoi de rugby est planifié ce week-end. Les gens du voyage ont jusqu’à samedi midi pour libérer le terrain. Faute d’obtempérer, ils riquent d’être expulsés manu militari.
Depuis lundi, les parents d’élèves de l’école les Myrtillons se mobilisent et occupent l’établissement pour réclamer à nouveau la réouverture de la 4e classe de maternelle.
Une centaine de parents et d’enseignants, bien décidés à occuper l’inspection académique du Doubs cette nuit à Besançon, a été délogée par des policiers ce lundi soir peu avant 21h. Après quelques légères bousculades, le collectif a finalement levé le camp en chantant « On s’en va, mais on reviendra… ».
Dans le cadre de leur mobilisation « contre les conditions inacceptables dans lesquelles se prépare la rentrée 2011 » (7,5 postes supprimés au lycée), les enseignants du lycée Victor Hugo de Besançon ont décidé d’une occupation nocturne de leur établissement ce jeudi 17 février à partir de 19 h.
