La cour d'appel de Versailles a condamné une entreprise du groupe français d'ingénierie et d'équipements automobiles Faurecia à verser plus de 80.000 euros de dommages-intérêts à un salarié pour "discrimination syndicale", a-t-on appris mercredi auprès de la CGT.
L’équipementier automobile Faurecia va fermer son usine de sièges de Pulversheim dans le Haut-Rhin, qui emploie 137 salariés, a-t-on appris jeudi de source syndicale. La production sera déplacée sur le nouveau site de Faurecia, à Étupes, à Technoland 2.
Faurecia va regrouper les activités de ses sites de Beaulieu-Mandeure (échappement) et Montbéliard (sièges auto) sur sa nouvelle plateforme d’Allenjoie dans le Doubs, a confirmé vendredi 19 mars 2021 l’équipementier français.
L’équipementier automobile français Faurecia créera en 2023 une usine de production de réservoirs à hydrogène dans le nord de la Franche-Comté, à quelques kilomètres du centre de développement mondial qu’il vient d’ouvrir pour cette même technologie.
L’équipementier automobile Faurecia a choisi d’installer en France, à Bavans (Doubs), son centre d’expertise mondial pour les systèmes de stockage d’hydrogène, a annoncé le groupe dans un communiqué.
Lors de la vente de la branche Exteriors de Faurecia à Plastic Omnium, Martial Bourquin, maire d’Audincourt, a alerté la commissaire européenne à la concurrence sur la situation délicate du site AEE d’Audincourt, qui emploie 700 personnes. Le 24 novembre 2016, le maire a rencontré les représentants syndicaux du site AEE pour leur faire part de la réponse reçue.
Martial Bourquin, sénateur et Frédéric Barbier, député du Doubs rencontreront le PDG de Plastic Omnium le lundi 25 juillet à 14h30 pour évoquer l’avenir des quatre sites français de la branche Exteriors de Faurecia dont celui d’Audincourt qui emploie 800 salariés.
Le sénateur PS du Doubs, Martial BOURQUIN, se mobilise pour la défense de quatre sites de Faurecia dont celui d’Audincourt qui emploie 800 salariés. Il a publié ce mardi 12 juillet 2016, un communiqué pour faire part de sa grande inquiétude suite à un décision européenne qui place ces quatre entreprises dans une position difficile.
Une rumeur avait circulé mi-juillet 2015 à propos de la société Faurecia qui aurait souhaité « se séparer de son activité pare-chocs pour un montant de 450 millions de dollars ». Cette information a été démentie par le directeur de l’entreprise dans un courrier destiné à Martial Bourquin, maire d’Audincourt. Malgré le démenti, l’élu fait part de ses inquiétudes dans un courrier au ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, et lui demande un entretien.
Dans un courrier adressé au sénateur-maire d’Audincourt, le PDG de Faurecia, Yann Delabrière, indique qu’il n’a « aucune volonté de se séparer de son activité pare-chocs à des d’investissement ou à des concurrents asiatiques ».
