Alstom : l’État met la main à la poche
Ainsi l’État va contribuer au maintien de l’activité du site Alstom-Transports de Belfort. L’État intervient donc – cet État tant vilipendé par ceux-là qui le critiquent en permanence, l’incriminent tant, l’accusent d’être trop lourd, trop interventionniste, enfin tout est toujours, selon ceux-là, de la faute de l’État – pour sauver un site de production d’un groupe dont le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a manqué de stratégie industrielle.