Dernier arrivé à maCommune.info, notre chroniqueur Albert Ziri qui nous propose ses regards sur la politique en Franche-Comté plusieurs fois par mois… Voici le Top 5 de ses articles qui ont été les plus lus cette année 2016 !
À la veille de 2017, grande année électorale de la présidentielle et des législatives, il est peut-être intéressant, pour l’observateur de la chose publique, de se pencher sur le nombre d’adhérents par partis politiques. Surtout de ceux s’étant déjà choisi un champion, ou en voie de le faire.
Ils sont tous trois différents et pourtant leur démarche est commune. Ces trois-là, Franck, 37 ans, chauffeur routier en stage avant un retour à l’emploi espéré, Florian, 23 ans, étudiant en histoire qui se destine à l’enseignement, et Geronimo, 24 ans, prépare le concours d’administration après avoir étudié la philo, soutiennent Emmanuel Macron. L’ancien ministre de l’Économie aurait le vent en poupe. Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié ce mercredi, Emmanuel Macron est en tête du classement des personnalités politiques de l’année en recueillant 48% d’opinions favorables, devant François Fillon à 44% .
Manuel Valls fait son premier déplacement de candidat en Franche-Comté, dans le Pays de Montbéliard. Il visitera l’entreprise Cristel et tiendra un meeting, son premier, à Audincourt (à 18.30) accueilli par Frédéric Barbier, député PS.
Nous en convenons tous, ou la plupart d’entre nous, « un président » en exercice « ne devrait pas dire ça » et sûrement pas comme ça. Cette obligation de rigueur n’est pas, et ne doit pas être, seulement celle d’un président en exercice. Elle doit s’étendre à tout un chacun, et bien sûr aussi à un ex-président qui envisage de l’être à nouveau…
Pour l’ancien Parisien, installé à Besançon depuis 30 ans, cette traversée très matinale des Champs-Elysées – rendez-vous dans une rue adjacente oblige – tient bien les promesses poétiques du Paris qui s’éveille de Lanzmann chanté par Dutronc.
Deux tiers des Français estiment que les élites sont corrompues. C’est ce qui ressort d’un sondage Harris Interactive paru en octobre 2016. Une image donc dégradée des politiques et de l’institution républicaine qui gagne du terrain, alimenté aussi par le populisme du moment, tout autant qu’il l’entretien. Une spirale peut-être dangereuse, délétère.
Privatiser les bénéfices, mais nationaliser les risques ?
La réforme territoriale, ce n’est pas que la réorganisation et la fusion des régions, c’est aussi la création de 13 Métropoles. C’est aussi la réforme de l’échelon départemental, aux compétences finalement réduites et même parfois reprises à titre expérimental par de grandes agglomérations comme à Lyon.
