Mercredi 30 janvier au matin, les passants de la rue Lecourbe ont découvert des graffitis antimilitaristes inscrits sur le mur de l'hôtel particulier de l’état-major de force de Besançon.
Les mots "assassins", "pions de la Françafrique", "sbires d'Areva et de Bolloré, hors du Mali" ou encore un distingué "Merde à Vauban", rappelant la chanson éponyme de l'auteur-compositeur anarchiste Léo Ferré, s'étalaient sur la façade du bâtiment. Ils ont été effacés dans la matinée.