Il écrit dans un communiqué qu'"il est crucial de faire taire les armes des deux côtés. La solution au conflit ne peut être qu’une solution politique ; en aucun cas il ne peut s’agir d’une réponse armée."
S'inquiètant au passage du fait que l’insécurité nourrisse "les positions extrémistes de tous bords." Martial Bourquin condamne fermement par ailleurs les actes antisémistes qui se sont dernièrement déroulés à Sarcelles, tout en disant comprendre et partager "l’émotion et l’exaspération face à la situation de Gaza, qui vit une période de chaos avec plus de 500 victimes et près de 100 000 personnes déplacées."