Les 19 personnes au total qui avaient ainsi été interpellées mardi 14 février 2017 par la police et placées en garde à vue ont ainsi été relâchées.
Aucune réponse pénale n’a pour l’instant été décidée, mais l’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Besançon pour "séquestration", "violences", "outrage" et "rébellion" se poursuit pour déterminer leur implication dans l'occupation de la salle du CA de l'université. Six plaintes ont été déposées dans le cadre de cette affaire.