En période électorale, cette enquête pourrait avoir des répercussions sur le vote des administrés. À ce jeu, certaines villes ont eu la bonne idée de ne pas faire évoluer le tarif comme Nice et Ajaccio. A contrario, d'autres ont vu leur prix de stationnement s'envoler : en tête desquelles Le Mans, dont l'heure atteint 2,50 euros aujourd'hui, mais aussi Roubaix (+ 50 %, qui est passé de 0,80 à 1,20 euro), Nantes (+ 47 %, 2 euros désormais) et Rennes (+ 39 %, à 2,12 euros).
Besançon s'en sortirait mieux avec un tarif plafonné à 1,20 euros. Avec elle, une vingtaine d'autres villes auraient ainsi "joué la carte de la modération", comme l'explique Auto Plus, en n'augmentant leur tarif que de dix à vingt centimes. Restent que certaines villes pratiquent, elles, majoritairement la gratuité comme Calais, Lorient ou Vénissieux. Une idée à creuser peut-être dans la capitale comtoise par le futur maire ?