En quatre mois, presque 70 de ces portraits présidentiels ont été décrochés par des militants dans toute la France. Ce matin, c'était au tour de celui de la mairie de Roche-lèz-Beaupré.
Les militants, qui insistent sur une action "non violente et sans dégradation du matériel", tirent "deux symboles" à cette réquisition :
- "le vide laissé au mur symbolise l’inaction du gouvernement en matière sociale et climatique"
- "le fait de sortir le président est une manière de l’emmener voir la réalité du pays, du dérèglement climatique qui est déjà là et qui s’aggrave"
Les militants "s'engagent à ramener le portrait du Président dès que le gouvernement aura annoncé une politique en accord avec les engagements pris lors de la COP21".