Dans un communiqué, l’équipe pédagogique affirme que "contrairement à ce qui a été annoncé par le ministère de l’Education Nationale, la passation des épreuves ne se déroule pas dans de bonnes conditions".
Le mouvement ne cesserait de prendre de l’ampleur avec "44% des grévistes" contre 30% lundi 20 mars. Le personnel administratif se serait "vu obliger de remplacer certains collègues".
Par cette mobilisation, les personnels grévistes ont choisi "d’exprimer leur désaccord face à la réforme des retraites et du bac Blanquer en investissant le rond-point Temis devant le lycée". Des banderoles "49.3 raisons de se révolter ", "49.3 nuances de grève", "Bac trop tôt, réforme trop tard" ou encore "On ne veut pas mourir sur scène en-saignant" ont ainsi été apposées.
Selon le communiqué, "la réforme des retraites met le feu aux poudres dans une éducation nationale à bout de souffle suite à la Réforme Blanquer" ayant entraîné "suppressions de postes, élèves en souffrance, pénurie de moyens, classes surchargées".
La mobilisation se poursuivra lors de la manifestation du jeudi 23 mars.