Près de 1.100 TER utilisent actuellement du diesel, dont la SNCF veut se débarrasser d’ici à 2035. La compagnie teste également diverses formules utilisant des batteries et des carburants « verts » comme le colza.
Ces trains bimodes, capables de rouler sous caténaires en traction électrique et en mode hydrogène, auront une autonomie allant jusqu'à 600 km sur les lignes non-électrifiées, sans polluer, ont indiqué les parties prenantes jeudi dans un communiqué.
Le président d'Alstom France Jean-Baptiste Eyméoud envisage "les premiers essais sur voie fin 2023, et a priori une mise en service commerciale en 2025".
Le contrat s'élève pour Alstom à 190 millions d'euros pour 12 rames.
Il prévoit la fourniture de trois trains à chacune des quatre régions pionnières, auxquels pourraient s'en ajouter deux en option pour le Grand Est.