Quand deux collègues prônent “la paix dans les ménages administratifs” du monde de la culture à Besançon…

C’est l’histoire de deux collègues qui s’entendent à merveille et deviennent amies, Anouk et Lucie, et qui décident de créer leur propre entreprise spécialisée dans le traitement des salaires et des cotisations sociales des salarié(e)s de la culture : Paypotes. Créée en janvier 2024, elle compte déjà une soixantaine de structures dans son fichier clients et prône ”la paix et la sérénité” dans le processus de création des compagnies, associations et entreprises de Besançon comme de toute la France.

Anouk et Lucie © Alexane Alfaro

Anouk et Lucie sont deux professionnelles de la paie, conscientes des difficultés et du stress rencontrées pour les actrices et les acteurs du secteur culturel dans la gestion administrative de leurs paies et de leurs contrats de travail. ”C’est le morceau ingrat du processus de création, mais ce morceau est très important !”, souligne Anouk.

”On n’est pas des machines, on est dans l’humain”

Ainsi, les deux entrepreneures mettent leur expertise au service des compagnies, groupes de musique, troupes de théâtre, salles de spectacle, organisatrices et organisateurs de festival, établissement d’enseignement artistique, organisatrices et organisateurs de spectacles occasionnels, etc. 

Mais Anouk et Lucie ne se contentent pas de rester devant leur ordinateurs à entrer des chiffres, elles s’imprègnent de l’univers de leurs clients. ”On veut aussi se nourrir du terrain, on veut voir ce qu’ils font, on vit aussi de ces rencontres, on s’intéresse aux entreprises, associations, artistes, etc.”, nous confie Anouk, ”en gros, on n’est pas des machines, on est dans l’humain.”

Anouk et Lucie © Alexane Alfaro

Du "sur mesure"

Enfin, le duo assure une adaptation dans tous les cas de figure : ”on est indépendantes, donc ça nous permet de nous adapter à chaque demande : on peut proposer des prestations sur mesure, c’est-à-dire que des associations qui organisent un évènement par an, peuvent faire appel à nous, celles qui ont des besoins toute l’année, on sera là aussi, on s’adapte”, nous explique Anouk. Le tout dans l’unique but de simplifier la vie des structures culturelles, "pour la paix dans les ménages administratifs !" lancent-elles à leur bureau.

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