Il aura fallu deux jours à l’artiste pour peindre au pinceau cette oeuvre de plus de 8 mètres sur 2,5 mètres de hauteur. Ce radeau de la méduse en version moderne. Si celui de Géricault est inspiré d’un véritable naufrage au large de la Mauritanie, celui de Thoulouze l’est aussi.
"J’avais reproduit et stylisé le radeau de la méduse rue du Lycée l’année dernière. Des réactions, des échanges, des discussions ont émergé l’idée d’un radeau moderne afin de ne pas rester indifférent à ce drame parmi tant d’autres qu’est le sort de jeunes migrants quittant leur pays au risque de leur vie", explique le peintre. Et de nous confier : "Besançon point passage pour nombre d’entre eux, Chamars ancien port Bisontin, on peut imaginer et chercher nombre de raisons à cette fresque, mais c’est plutôt l’envie de ne pas rester indifférent et remercier les personnes et les structures locales et entreprises qui les soutiennent et les accompagnent."
1 Commentaire
Un commentaire
Super cette fresque……il faudrait que ceux qui tag certains murs prennent modèle sur Mr Thoulouze au lieu de nous faire des tags qui ne veulent rien dire!!!!!!!!!