Pour la maire de Besançon, "on ne peut pas se réjouir des chiffres que nous avons aujourd'hui" à propos du Rassemblement national. "On peut dire que la gauche s'est mobilisée aujourd'hui, pour partie, pour sauver Macron et je le dis, ça veut dire que dans la rue il y a la colère et il y a beaucoup de votes blancs", précise-t-elle après avoir tenu un bureau de vote et participé au comptage, "je crois d'ailleurs qu'il est urgent que l'on sache donner du sens à ce vote blanc et ça démontre que l'on n'a pas entendu, écouté ce qu'il se passe en ce moment. (...) J'espère qu'on va entendre, qu'on n'aura pas l'arrogance qu'on a eu au premier tour et qu'on sera modeste face à quelque chose qu'il y a à construire (...).
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