Depuis le 13 février, la qualité de l’air est « mauvaise » à Besançon et Dijon. Cet épisode de pollution hivernale aux particules fines est liée au refroidissement des températures, entraînant une augmentation des émissions de chauffage, particulièrement au bois, a expliqué l'organisme Atmo France, la fédération des Associations agréées de surveillance de la qualité de l'air. La faiblesse du vent a amplifié le phénomène.
Les villes concernées :
Paris, Rennes, Marseille, Avignon, Montpellier, Toulon, Tarbes, Bordeaux, Grenoble, Saint-Etienne, Clermont-Ferrand, Besançon, Dijon, Chalon-sur-Saône, Strasbourg, Angers, Nantes, Lilles, Lyon, Arras, Orléans, Chartres, Tours et Bourges.