« L’enquête a révélé une faille énorme, à savoir une coupure du système hydraulique de freinage concernant les derniers wagons. Si bien que le conducteur a pu ne pas s’apercevoir du danger grandissant, croyant conserver la maîtrise de l’engin, tant que l’avant répondait à ses coups de frein, alors que l’arrière, avec le poids des passagers, agissait comme un bélier qui a conduit au drame », explique L’Est Républicain.
Cette constatation ne dégage pas le chauffeur de sa part de responsabilité dans l'accident.