"Partisan d’une véritable démocratie locale et participative", il se présentera comme "le seul candidat à défendre les collectivités territoriales en général et des maires en colère en particulier."
Son programme qui sera détaillé lors d’un prochain point de presse se déclinera, sur les plans notamment institutionnel, économique, social et fiscal autour du projet suivant : "Aux régions les maximum du possible, à l’État le minimum du nécessaire".
Il prévoira "la nécessaire ratification des fusions de régions" par les populations concernées, via un référendum, comme prévu par la "Charte européenne de l’autonomie locale".
Maire d’une petite commune, il se dit "convaincu" de pouvoir réunir les 500 signatures "puisque déjà aisément trouvables sur les seules régions de la bande Est du territoire (Alsace, Franche-Comté, Rhône-Alpes, Savoie et PACA)" où, dans un premier temps, il va concentrer sa recherche de parrainages.
C’est également là que se trouvent aujourd’hui les premiers partisans du projet comme Frédéric Turon (président des "Alsaciens Réunis"), Jean-Philippe Allenbach (président du "Mouvement Franche-Comté" et déjà candidat à la candidature à la présidentielle de 2007), Gérald Calmus (conseiller municipal d’Yvoire et ancien responsable de la "Ligue savoisienne") et Francis Hodbert (président d’APICS, association Niçoise "pour la promotion de l’image des communes" en région PACA).
(Communiqué)