”Pour avoir simplement demandé l’application de la loi française, à savoir l’expulsion des violeurs étrangers, l’une de nos militantes a été placée en garde à vue ce matin”, déplore le collectif, qui explique que l’action pendant le carnaval dimanche dernier au centre-ville de Besançon visait à ”dénoncer les failles de la justice de notre pays qui manque à son devoir en n’appliquant pas les obligations de quitter le territoire français.”
De plus, le collectif, qui se dit féministe et identitaire, veut rappeler que ”ce souhait de voir la loi mieux appliquée a été formulée par l’ex-ministre à l’égalité hommes-femmes Marlène Schiappa, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et par le président Emmanuel Macron eux-mêmes.”
”Le moment est grave pour toutes les femmes françaises”, conclut Némésis, ”avons-nous le droit de dénoncer nos agresseurs s’ils sont étrangers ? Nous aurons la réponse d’ici peu.”