"À ce jour, les promesses d’indemnités, de primes et même de revalorisation salariale sont encore très éloignées de nos réalités. Certains professionnels sont même exclus de toutes perspectives d’évolution de leur salaire. Par exemple, des professionnels de terrain comme les chargés d’insertion professionnelle, qui ont pour mission première d’accompagner des personnes en situation de handicap vers un emploi stable et durable, n’ont pas été inscrits dans la liste des personnels médico-sociaux", s’insurgent les salariés de l’association des familles de traumatisés crâniens et cérébro-lésés. Ils poursuivent :
"De plus, certains services entiers (DEA, GEM) ne sont pas concernés, tout comme le personnel administratif, pourtant essentiel au bon fonctionnement de notre association".
Les salariés se mobiliseront ce jeudi et espèrent "attirer l’attention des députés".