Quelque 500 personnes ont marché sans incidents du quartier des Buis où réside la famille jusqu’à la pharmacie où un proche à lu la prière des morts dans le recueillement.
Selon le rapport d'autopsie et sous réserve des analyses toxicologiques, l'homme souffrait d'une «altération cardiaque préexistante» et d'un important stress.
«Mohamed a pu se rebeller lorsqu'on lui a passé les menottes, mais il a été maîtrisé par des policiers d'une façon qui a pu provoquer une détresse respiratoire», déclaré un de ses frères.
Il affirme aussi qu'à l'occasion de la toilette mortuaire on aurait constaté qu'il avait «des bleus sur le visage et la lèvre éclatée».
Une enquête pour «recherche des causes de la mort» a été confiée à la police judiciaire.