La mobilisation a débuté en novembre en lien les principaux syndicats de journalistes et la Ligue des Droits de l’Homme.
Le collectif organise une nouvelle manifestation contre la proposition de loi "Sécurité globale" et demande le retrait de ses articles 21, 22 et 24. Il s'oppose également à d’autres textes comme le Schéma national du maintien de l'ordre (SNMO), ou le projet de loi"confortant les principes républicains" et se dit très attentif à d’autres dispositions élargissant la surveillance de la population ou faisant reculer le droit à l'information.
Autres points d'attention : la surveillance par drone, les caméras-piétons et les décrets parus en décembre étendant les possibilités de fichage aux groupements, aux opinions politiques ou syndicales, aux comportements et habitudes de vie...
"Ni la commission Delarue sur les rapports entre journalistes et forces de l'ordre ni le « Beauvau de la sécurité » ne sauront nous détourner de notre objectif. Tant que ces textes liberticides ne seront pas abandonnés, nous défendrons sans relâche nos libertés" conclut le collectif.