Le communiqué :
"Depuis trois ans, et alors même qu’il n’a aucune compétence obligatoire, le Département du Doubs, sous l’impulsion de son Président, s’est fortement mobilisé en faveur de la reconquête de la qualité de nos rivières.
Depuis, tous les partenaires, - État, collectivités locales, chambres consulaires, associations- sont réunis pour parvenir à cet objectif.
Et tous le savent : c’est un combat de longue haleine qui est engagé. Il faudra du temps et de la persévérance pour parvenir à juguler la pollution de nos cours d’eau.
Ce discours de vérité, nous le devons à notre population.
C’est pourquoi, nous ne pouvons admettre les propos qui résument le travail collectif entrepris depuis plusieurs mois à quelques « mesurettes », laissant croire de surcroît qu’il suffit d’un claquement de doigt pour régler des problèmes qui durent depuis 30 ans.
De même, nous condamnons fermement la violence verbale à laquelle se sont livrés quelques extrémistes lors de cette journée à Saint-Hippolyte.
À la gesticulation d’un jour, nous préférons l’action au quotidien ! Certes, c’est sans doute moins médiatique mais à l’évidence plus utile pour la restauration de nos rivières.
Autour de Claude Jeannerot, nous restons déterminés à assumer avec responsabilité nos engagements au service de nos concitoyens. Nous laissons à d’autres la voie de l’agitation stérile et improductive".
Ce communiqué est signé de Vincent Fuster, premier vice-président du Département du Doubs, au nom des vice-présidents et des conseillers généraux délégués.