"Un tel changement serait mettre en péril le bien-être des enfants scolarisés et engendrerait une fuite d’enfants vers le secteur privé compromettant encore plus l'avenir de notre école" indique Karine Collardey, présidente de l'association des parents d'élèves, contacté par téléphone. Elle ajoute que "c'est inacceptable, on ne va pas se laisser faire et essayer de se battre".
Les parents d'élèves souhaitent prendre rendez-vous avec l'inspection académique pour lui faire part de leur mécontement et tenter de trouver d'autres solutions.