Le gouvernement s'élèvera donc contre cette proposition, adoptée par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale le 21 octobre, a indiqué le ministre du Travail.
«Aujourd'hui, les cures thermales apportent des réponses à des problèmes de santé et si on supprime les cures thermales pour qu'on consomme davantage de médicaments, on ne sera certainement pas gagnant», a-t-il dit. «Il faut se méfier des bonnes idées sur le papier ».
Le conseil général de Haute-Saône s'était élevé cette proposition qui allait mettre à mal l'avenir thermale de Luxeuil-les-Bains.