"Ma priorité locale : Faire avancer Dole
Avec mon équipe municipale, nous faisons avancer Dole. Nous avons lancé de nombreux chantiers qui mis, bout à bout, améliorent sensiblement la qualité de vie des habitants. Je pense à revitalisation du centre-ville auquel les habitants sont tous très attachés. Je pense aussi à la sécurité, avec l’installation de la vidéo-protection qui a déjà fait la preuve de son utilité dans plusieurs affaires. Enfin, nous voulons dynamiser la vie culturelle, associative et sportive avec, parmi les grands projets, la rénovation du théâtre, l’installation d’un multiplexe cinématographique et la construction d’un nouveau centre nautique. Ces projets sont menés « tambours battants » et les dolois apprécient ce rythme.
Ma priorité régionale : Placer le bassin dolois au cœur de la grande région
Le bassin Dolois a un positionnement idéal au cœur de la nouvelle grande région Bourgogne Franche-Comté. Elle est à 50km de Dijon et à 50km de Besançon. A nous de transformer cette géographie en opportunité !
Nous voulons développer le tourisme d’affaires. Pour cela, nous avons lancé une société publique locale, « Hello Dole », chargée d’attirer les séminaires et les congrès.
Nous avons reconverti l’ancienne usine « Idéal Standard » en Parc des expositions. La première manifestation qui s’y est déroulée, le Salon « Made in Jura », a été un grand succès avec 400 exposants et 60.000 visiteurs.
Plusieurs manifestations populaires comme le « Week-end Gourmand du Chat Perché » et « Cirque et Fanfares » rayonnent désormais bien au-delà du Jura.
Il faut encore accentuer ce positionnement sur le plan économique. L’installation de la Chambre Régionale de l’Artisanat est un premier signal positif. Il faut aller plus loin en assurant l’avenir de l’aéroport de Tavaux et en continuant à développer la zone d’activités Innovia qui a une dimension régionale.
Ma priorité nationale : Défendre la ruralité
La prochaine législature devra faire de la ruralité une priorité absolue. Nos campagnes sont aujourd’hui des territoires oubliés, abandonnés, parfois même sacrifiés. L’Etat devra faire demain le même effort financier pour elles que celui fait pour les banlieues dans les années 90.
C’est un véritable « Plan Marshall » que j’appelle de mes vœux. Il permettra, bien sûr, de soutenir nos agriculteurs, mais pas seulement. Il faut améliorer la vie des ruraux, en particulier des personnes âgées, en organisant le retour des médecins et des professionnels de santé. Il faut aussi donner envie à des jeunes ménages, lassés du stress et de l’asphyxie des métropoles, de s’installer et de construire leur vie à la campagne. "