Un communiqué des pompiers publié sur leur site internet était visé par la société d'ambulance : le document estimait que le 15 favorisait Jussieu Secours dans l'attribution des missions d'urgence par rapport aux pompiers, estimant cette situation « inacceptable et dangereuse pour la population ».
Le tribunal correctionnel de Besançon, qui avait examiné l'affaire le 21 mai 2014, a finalement jugé irrecevable les poursuites mercredi 4 juin 2014. Le responsable de l'URBFC a ainsi été relaxé.