Ils accusent la "mise en œuvre une politique de casse sociale et de désengagement de l’État."
"Les nominations de Bruno Le Maire à l’économie, de Jean-Michel Blanquer à l’éducation, ou encore de Gérald Darmanin à l’action et aux comptes publics, ont le mérite de la clarté. C’est la droite dure qui contrôlera les cordons de la bourse", s'insurgent-ils.
Les jeunes socialistes s'alarment " de l’absence totale de la jeunesse dans les portefeuilles ministériels". Ils définissent le Premier ministre comme " anti-féministe", "anti-écologique" et regrettent que "Nicolas Hulot mette son image au service de ce gouvernement."
"On ne renouvelle pas la vie politique en recyclant ceux qui ont échoué depuis des décennies par soumission aux dogmes du libéralisme", concluent-ils.