Neige et verglas : des conditions de circulation très difficiles ce vendredi dans le Doubs

Les chutes de neige du jeudi 21 novembre et le gel ont rendu la circulation très difficile sur les routes du département du Doubs. Malgré des équipes d’intervention mobilisées depuis jeudi matin, la neige chargée d’humidité s’est transformée en verglas dans la nuit et a rendu les routes très glissantes ce vendredi 22 novembre. On fait le point sur les conditions de circulation sur les différents secteurs du département avec Inforoute 25. 

Archives © inforoute 25

"Limiter les déplacements" c’est le conseil de l’équipe viabilité hivernale du département du Doubs. 

Sur l’A36, un arrêté a été pris au cours de la nuit de jeudi à vendredi interdisant la circulation aux camions de plus de 7,5 tonnes à 22h30 entre Mulhouse et Saint-Vit. Celui-ci devrait être levé à partir de 10h00, mais pour l’heure de nombreux camions sont encore stationnés sur une ou plusieurs voies. Le Département nous signale également que les gendarmes sont sur place pour tenter de gérer le trafic et, par endroits, de délester la circulation sur les routes départementales. 

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Sur le secteur Est du département (Pays de Montbéliard et Isle-sur-le-Doubs), la situation est encore très compliquée car les chutes de neige ont continué jusqu’à 3h du matin. Plusieurs plaques de verglas se sont développées par endroits. Le traitement des routes est en cours, mais il est recommandé d’éviter les déplacements au maximum. 

Du côté de Baume-les-Dames et Besançon, en revanche, les conditions de circulation sont en nette amélioration. 

Enfin, sur le secteur de Pontarlier, les chaussées sont enneigées voire verglacées par endroits sur l'ensemble du Haut-Doubs. Le traitement des routes est en cours, n’oubliez donc pas d’adapter votre vitesse.

Attention aux chutes d'arbre

Le Département du Doubs met en garde si vous empruntez les petites routes, car l’humidité présente dans la nuit a fragilisé les sols et rendu les chutes d’arbres fréquentes. Même si les équipes d’intervention sont mobilisées, le risque n’est toutefois pas nul. 

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