"Le Taureau présenté au musée a subi un choc, son socle a été déplacé de quelques centimètres et les deux tiges en fer supportant l’œuvre ont cédé. Le Taureau a glissé de 10 cm sur son sur-socle en bois, sans tomber au sol. Les dégâts sont limités à une petite zone correspondant à la restauration du 19e siècle", explique la Ville de Besançon.
Et d’ajouter : "Lors de la chute, du plâtre, qui a servi de comblement entre les deux parties, s’est fragilisé, sans qu’aucune perte de matière métallique ne soit constatée".
Une restauratrice spécialisée a toutefois été sollicitée afin d’intervenir sur l’oeuvre. Son travail se déroulera en deux phases : une première étape d’étude et de consolidation de l’ancienne restauration, suivie d’une restauration selon les techniques les plus adaptées.