Le site Alstom Power Systems Steam certifié Iso 50001 !

Le site Alstom Power Systems Steam de Belfort a reçu la certification ISO 50001 (le périmètre concerne le bâtiment 329). Cette reconnaissance, qui illustre la politique énergétique menée par le Groupe, est le fruit d’une démarche volontaire amorcée il y a près d’un an par Jean Nicolas Losfeld, responsable des services généraux. 

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La certification ISO 50001, qui se fonde sur l’amélioration continue de la performance énergétique, guide les entreprises dans la mise en œuvre d’un système de gestion de l’énergie et permet de faire un meilleur usage de celle-ci. Le management passe par la gestion rigoureuse des énergies utilisées dans le fonctionnement d’un bâtiment (chauffage, électricité, consommation d’eau, utilisation d’appareils électriques, …). Cette norme détermine l’ensemble des postes énergétiques et permet de les hiérarchiser et d’établir une revue énergétique selon un mode d’évaluation environnemental.

Benoit Valgueblasse, chef de projet de la norme certification ISO 50001 à Belfort Thermal Systems, a déclaré que "Alstom se doit de montrer l’exemple en matière de performance énergétique. C’est une des normes qui sera exigée par les clients et nécessaire pour les marchés futurs, comme ce fut la cas pour ISO 9001".

"Intégrer le management de l'énergie à l'ensemble de nos efforts contribue à améliorer notre management de la qualité et de l’environnement. L'optimisation de l'utilisation de nos sources d'énergie disponibles nous permet d’accroître l’efficacité énergétique, de réduire les coûts et d’améliorer la performance énergétique. C'est une grande première pour le site de Belfort et pour le groupe Alstom, qui s'inscrit dans une démarche d'excellence opérationnelle", a commenté Guillaume Turc, Directeur Steam Plants France.

La certification du bâtiment 329 du site d’Alstom de Belfort a été facilitée par une démarche collective d’entreprises au sein de la CCI Franche-Comté et une volonté forte de la Direction d’Alstom qui poursuit l’objectif de réduire l’impact environnemental de ses activités. 

Les premières actions opérationnelles de cette démarche avaient permis en 2014 de diminuer l’empreinte énergétique du bâtiment de 38%. Concrètement, cela passe par la prise en compte des conditions de travail en ajustant l’hygrométrie dans les espaces de travail, en adoptant les consignes de travail et les plages de fonctionnement et en adoptant quotidiennement des "éco gestes" simples, comme par exemple éteindre les lumières, écrans et ordinateurs.

(Communiqué)

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