Le groupe Rassemblement national Bourgogne-Franche-Comté dénonce un acharnement médiatique

''Le service public fait campagne contre le Rassemblement national avec l'argent des Français''. Le groupe RNBFC réagit dans un communiqué du 5 juillet 2024, suite à de fausses informations qui auraient été divulguées dans la presse dans le but "discréditer" le parti.

Groupe RN BFC 2024 © RN BFC

Selon le groupe RNBFC, ''depuis plus de cinq jours, le service public fait campagne contre le Rassemblement national en diffusant, en toute connaissance de cause, de fausses informations afin de discréditer le premier parti de France.''

RNBFC prend exemple sur l'article paru dans la presse locale, intitulé ''Propos racistes, complotistes, insultes : ces candidats du RN qui posent question en Bourgogne-Franche-Comté'' dans lequel le média affirmerait que Thomas Lutz, conseiller régional et candidat aux élections législatives dans la première circonscription du Doubs ''a traité une élue de untermensh'' (qui signifie ''sous-homme'') lors de la dernière assemblée plénière régionale.

''Thomas Lutz n’a en aucun cas insulté une élue de la République''

Le groupe explique que la présidente de la région, Marie-Guite Dufay, n'aurait pas fait respecter les même temps de parole en fonction des groupes politiques. Raison pour laquelle Thomas Lutz aurait dénoncé cette attitude, ''affirmant que les élus de son groupe n’étaient pas des « untermensch », terme inadapté pour lequel il a présenté ses excuses. ''

RNBFC poursuit en dénonçant l'absence de réaction des médias face à l'investiture de Raphaël Arnault, qui serait ''fiché S pour violence'' ou encore à propos de la candidature de Philippe Poutou dont le parti, le NPA ''a été sous lecoup d’une enquête pour « apologie du terrorisme » pour des propos antisémites tenus le7 octobre.''

''Le Rassemblement national de Bourgogne Franche-Comté dénonce ces méthodes crasses qui méprisent les millions d’électeurs qui accordent leur confiance pleine et entière à Marine Le Pen et Jordan Bardella'', conclut le parti rappelant que les Français financent le service public et ''aimeraient avoir des journalistes capables de les représenter sans les discriminer et les insulter à longueur de journée par des mensonges grossiers.''

Quitter la version mobile