DROIT DE REPONSE
Droit de réponse :
Le roman d’un MANIPULATEUR et d’un IMPOSTEUR
L’histoire à dormir debout qui est décrite ici, issue du cerveau malade de son auteur, est un tissu de mensonges fabriqué par un homme qui persécute une famille et harcèle une femme malade depuis des années.
L’histoire qui se cache derrière ce récit frelaté, c’est celle d’un ABUS DE FAIBLESSE sur une femme de 75 ans atteinte d’une MALADIE D’ALZHEIMER depuis plusieurs années qui est tombée dans les mains d’un prédateur et d’un maltraitant.
Le but inavoué c’est de profiter de sa retraite, de son appartement et de l’amour qu’elle croit donner à un imposteur qui se fait passer pour son compagnon.
La vérité, c’est celle d’une famille aux prises à un voyou qui estime qu’une femme malade de 15 ans son ainée est sa propriété exclusive et qui a tout fait pour la couper de ses amis de ses relations sociales et de sa famille afin de l’isoler et la tenir entièrement à sa disposition.
La vérité c’est l’histoire d’une famille qui découvre progressivement l’emprise presque totale d’un homme qui s’est fait passer pour un « voisin aidant » et le tableau effrayant d’une maltraitance caractérisée.
La vérité c’est enfin celle d’une famille qui après des mois de tentatives, de discussions, négociations, consensus avec un « cas social » décide de sortir sa mère, sa sœur, sa belle-sœur, son amie de la prison de son appartement et des mains de son geôlier.
Arrivé au bout du bout, la famille a eu recours à la justice qui est parvenue à faire émerger la vérité : les multiples expertises médicales incontestables vont toutes dans le même sens et aboutissent au même constat d’une femme atteinte de la maladie d’Alzheimer et devenue déjà dépendante.
La justice et le corps médical avec le soutien de la famille ont pris les seules décisions qui pouvaient être prises pour protéger et sécuriser celle qu’ils aiment ; la mise sous tutelle.
La seule possibilité qui s’est imposée, vu le contexte, a été de procéder à un placement temporaire de Maryvonne dans le seul but de la soigner, de s’occuper d’elle car elle ne peut plus le faire toute seule, de rétablir des relations normales avec ses proches et enfin pour qu’elle puisse recouvrir la sérénité et la liberté.
Depuis lors Cyril, égal à lui-même, n’a eu de cesse de continuer de persécuter ma mère, le personnel de l’Ehpad, la justice et toutes les institutions impliquées, d’empêcher les visites de la famille et des vrais amis et de multiplier les recours et les procès.
Réfléchissez bien à ce que vous feriez si votre mère était en proie à un tel abus avant de soutenir la pétition d’un manipulateur, jaloux de la vie des autres.
Le fils de Maryvonne.