Le fils de Maryvonne qualifie le compagnon d'"imposteur" et de "manipulateur"

Publié le 30/07/2014 - 11:11
Mis à jour le 16/04/2019 - 10:57

Ce mardi 29 juillet 2014, nous avons publié un article au sujet d’une femme de 74 ans, Maryvonne « enfermée » en maison de retraite par son fils. Ce dernier a souhaité utilisé son droit de réponse et indique que le compagnon de sa mère est un « manipulateur » et un « imposteur » et parle d' »abus de faiblesse ».

 ©
©

DROIT DE REPONSE

Droit de réponse :

Le roman d’un MANIPULATEUR et d’un IMPOSTEUR

L’histoire à dormir debout qui est décrite ici, issue du cerveau malade de son auteur, est un tissu de mensonges fabriqué par un homme qui persécute une famille et harcèle une femme malade depuis des années.

L’histoire qui se cache derrière ce récit frelaté, c’est celle d’un ABUS DE FAIBLESSE sur une femme de 75 ans atteinte d’une MALADIE D’ALZHEIMER depuis plusieurs années qui est tombée dans les mains d’un prédateur et d’un maltraitant.

Le but inavoué c’est de profiter de sa retraite, de son appartement et de l’amour qu’elle croit donner à un imposteur qui se fait passer pour son compagnon.

La vérité, c’est celle d’une famille aux prises à un voyou qui estime qu’une femme malade de 15 ans son ainée est sa propriété exclusive et qui a tout fait pour la couper de ses amis de ses relations sociales et de sa famille afin de l’isoler et la tenir entièrement à sa disposition.

La vérité c’est l’histoire d’une famille qui découvre progressivement l’emprise presque totale d’un homme qui s’est fait passer pour un « voisin aidant » et le tableau effrayant d’une maltraitance caractérisée.

La vérité c’est enfin celle d’une famille qui après des mois de tentatives, de discussions, négociations, consensus avec un « cas social » décide de sortir sa mère, sa sœur, sa belle-sœur, son amie de la prison de son appartement et des mains de son geôlier.

Arrivé au bout du bout, la famille a eu recours à la justice qui est parvenue à faire émerger la vérité : les multiples expertises médicales incontestables vont toutes dans le même sens et aboutissent au même constat d’une femme atteinte de la maladie d’Alzheimer et devenue déjà dépendante.

La justice et le corps médical avec le soutien de la famille ont pris les seules décisions qui pouvaient être prises pour protéger et sécuriser celle qu’ils aiment ; la mise sous tutelle.

La seule possibilité qui s’est imposée, vu le contexte, a été de procéder à un placement temporaire de Maryvonne dans le seul but de la soigner, de s’occuper d’elle car elle ne peut plus le faire toute seule, de rétablir des relations normales avec ses proches et enfin pour qu’elle puisse recouvrir la sérénité et la liberté.

Depuis lors Cyril, égal à lui-même, n’a eu de cesse de continuer de persécuter ma mère, le personnel de l’Ehpad, la justice et toutes les institutions impliquées, d’empêcher les visites de la famille et des vrais amis et de multiplier les recours et les procès.

Réfléchissez bien à ce que vous feriez si votre mère était en proie à un tel abus avant de soutenir la pétition d’un manipulateur, jaloux de la vie des autres.

Le fils de Maryvonne.

Soyez le premier à commenter...

Laisser un commentaire

Justice

Licenciement d’Alexandra Cordier de la Ville de Besançon : une enquête préliminaire est ouverte pour ”détournement de fonds publics”

Dans son rapport d’observations définitives pour la commune de Besançon, la Chambre régionale des comptes, dont le rapport a été rendu public lors du dernier conseil municipal de Besançon, met en avant la somme de 94.000€ perçus par Alexandra Cordier lors de son licenciement, alors collaboratrice au cabinet du maire de l’époque, Jean-Louis Fousseret, en 2019.

Un militaire en mort cérébrale après une agression à la sortie du QG à Besançon : le troisième suspect activement recherché 

Vendredi 8 novembre, peu avant 4h00, chemin de Mazagran, à proximité de la discothèque Le QG à Besançon, un jeune homme a été retrouvé au sol, inanimé par la police nationale. Selon les caméras de vidéosurveillance de la discothèque et du centre de supervision urbaine, il se serait fait frapper par trois individus de 19 ans. Deux d'entre eux ont été interpellés et le troisième est activement recherché par les forces de l’ordre, a confirmé le procureur de la République de Besançon Étienne Manteaux ce mardi 12 novembre.

Un homme frappé à mort à Morteau : des faits d’une extrême violence filmés par l’agresseur présumé

Comme nous vous en informions jeudi 7 novembre 2024 sur maCommune.info, une rixe s’est produite mercredi 6 novembre à Morteau entre un jeune homme de 21 ans et un homme d'environ 60 ans. Le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, a tenu une conférence de presse en présence du lieutenant-colonel Damien Mathieu, commandant en second le groupement de gendarmerie départementale du Doubs.

Gefco : renvoi du procès pour travail dissimulé de chauffeurs d’Europe de l’Est

Le procès à Vesoul de l'ancien transporteur routier français Gefco, poursuivi pour avoir bénéficié d'un système illégal de prêt de chauffeurs venus d'Europe de l'Est, employés en France dans des conditions indignes, a été renvoyé lundi à cause d'une erreur de procédure. Le nouveau procès se tiendra du 7 au 11 avril 2025.

Offre d'emploi

Devenez membre de macommune.info

Publiez gratuitement vos actualités et événements

Offre d'emploi

Sondage

 1.2
légère pluie
le 21/11 à 21h00
Vent
6.66 m/s
Pression
988 hPa
Humidité
100 %