"Depuis le militant communiste est harcelé en ligne. Il reçoit des insultes, des menaces de mort, son adresse et son numéro de téléphone ont été divulgués publiquement, sa famille est menacée également", s’insurge le comité vigilance antifasciste de Besançon qui se dit "inconditionnellement solidaire de ce militant ainsi que du PCF qui le soutient comme il l’est de toutes les personnes qui subissent ces menaces".
Et d’ajouter : "Nous condamnons ce groupe fasciste et ses méthodes et appelons à ce que la justice fasse appliquer la loi. Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit. Plus que jamais l'unité des syndicats et des partis de gauche est nécessaire pour combattre cette gangrène".